LA PROSTITUTION AFRICAINE EN FRANCE

Publié le par conscience-eburnie

Les filières de la pornographie africaine gagnent ses tristes lettres de noblesse en France et en Europe. Spécialisées de plus en plus dans les pratiques extrêmes, zoophilie, scatologie, urologie, elles semblent ne plus avoir de limite. Plongée au cœur du phénomène.

                                                  LES VICTIMES
L'Office central pour la répression du trafic des êtres humains distingue trois catégories de personnes impliquées dans la prostitution : les personnes mises en cause - les proxénètes -, les victimes identifiées et les personnes prises en flagrant délit de racolage.
En 2003, selon Jean-Michel Colombani, sur les 700 proxénètes arrêtés, 27 % étaient des femmes. 24% d'entre elles étaient originaires d'Afrique sub-saharienne, 4% d'Afrique du Nord et près de 34 % d'Europe de l'Est. L'Afrique noire représentait 35,5% de cette population étrangère et l'Europe de l'Est, 49,5%.

Concernant les victimes identifiées, 900 au total, 98% étaient des femmes. Les filles de l'Est représentaient 44% de personnes arrêtées et 27,5% était originaire de l'Afrique noire.
Cinquante-six pour cent des étrangères étaient ressortissantes d'Europe de l'Est et 35% d'Afrique subsaharienne réparties comme suit : 41% pour le Cameroun, 28% pour le Nigeria et 16% pour la Sierra Léone.
Pour ce qui est du racolage, 2 400 personnes ont été interpellées.
Elles sont ainsi réparties : Afrique noire, 31%, Europe de l'Est, 36% et France, 16%. L'Afrique représentait 37% - 53% venait du Nigeria, 18% du Cameroun et 18% de Sierra Léone - de la population étrangère et l'Europe de l'Est, 42,5%.

                                   LA REPARTITION GEOGRAPHIQUE
Sur le territoire, les principales villes où l'on retrouve les prostituées africaines son Paris, Lyon, Marseille et Bordeaux. On retrouve, à Paris, 29% des Africaines contre 49% pour les Européennes de l'Est.
A Lyon, elles supplantent les Européennes de l'Est : 46% contre 40%. A Marseille, la répartition est de 21% pour l'Afrique, 24% pour l'Europe de l'Est et 15% pour le Maghreb. Enfin, à Bordeaux, elles représentent 32% des "travailleuses du sexe".
UN DES PLUS GRANDS FLEAUX
La prostitution est l'un des plus grands fléaux qui bafouent la dignité humaine et précarisent la société à l'aube de ce troisième millénaire. Elle est le reflet de la misère morale et physique qui caractérise les régions entières de certaines parties du monde. Même si on parle souvent de pauvreté, elle est surtout considérée comme un moyen de survie pour les populations étrangères victimes de discriminations et d'exclusion dans les plus grandes métropoles occidentales.
Ce commerce est une forme d'esclavage inacceptable qui doit être combattue et proscrite, car il réduit les victimes à l'état d'objet, à l'état de marchandise.

                                     LA PROSTITUTION AFRICAINE
L'Afrique, une fois encore, va " squatter " les plus mauvaises places. En effet, les prostituées africaines vont ramasser tout ce qu'il y a de plus sale, de plus cruel, dans la prostitution. La mauvaise organisation des proxénètes qui sont des membres de la famille, va créer un développement désordonné de cette filière où il se passe les choses les plus immorales qui puissent exister.
Le comble de la révolte est atteint avec la prostitution des enfants qui semble ne pas faire réagir les pays d'accueil de ces trafiquants qui semblent plutôt intéressés par les enjeux financiers colossaux engendrés par cette traite. Ce qui expliquerait la tendance des pays du Nord à favoriser la légalisation de cette activité au lieu de son abolition.
C'est encore pire pour la France, le pays des droits de l'Homme, dont les mesures, par le biais d'une répression abusive et discriminatoire, tendent vers une réglementation d'une activité qui viole la plus célèbre et basique des droits fondamentaux des êtres humains.

Entre la zoophilie, la scatologie et la pédophilie, pour ne citer que ça, l'Homme semble ne plus avoir de limites, face au pouvoir que lui confère l'argent, et cette légitimité qu'il affiche en commettant ces actes barbares sous prétexte qu'il paie.
Chaque fois qu'on croit qu'il a atteint le fond de l'indécence, de l'indignation, du dégoût et de l'écoeurement, l'homme réussit toujours à nous surprendre et à repousser le corps humain dans ses limites les plus retranchées et inimaginables. Faut-il voir derrière ces actes, qu'on peut qualifier de criminels, une diabolisation de l'être humain ? Nous ne saurons parler de la prostitution des Africains sans évoquer la situation économique catastrophique de ce continent.

                                   LES RAISONS ECONOMIQUES
On ne peut que constater les conséquences désastreuses des politiques économiques que les pays du Nord appliquent dans cette région. C'est incompréhensible de vivre sur près de la moitié des richesses de ce monde et de compter les grains de riz ?
C'est injuste de vivre sur ces trésors convoités par tous, et d'être obligés de vendre les enfants pour survivre. Ceci est un message fort à ces " supers puissances " qui font preuve d'un égoïsme " carabiné ", qui donnent des leçons en faisant la pluie et le beau temps sur la vie des dizaines de millions de gens.
C'est aussi un message pour les dirigeants de ces pays qui doivent être mis face à leurs responsabilités, dans la mesure où, ne pas réagir face à cette aberration, ne pas réagir face à l'instauration de cette nouvelle " traite ", c'est la cautionner.

Instaurer des règles économiques plus équitables entre le Nord et le Sud, équivaudrait à diminuer le problème de la misère, qui, à son tour, régulerait celui de l'exode, et, par conséquent, résoudrait une partie des problèmes liés à l'immigration comme celui de la prostitution. Cela permettra de rendre aux Africains leur valeur et leur place dans le processus de la croissance économique mondiale, afin qu'ils retrouvent leur respectabilité et leur dignité.
Cela permettra aussi aux enfants qui sont le trésor et la relève de ce continent, de ne plus passer du stade de l'enfance à celui de l'adulte en passant par les cases souffrance et maltraitance. Mais qu'ils passent par les cases insouciance, innocence, adolescence, afin de mettre fin à cette exploitation et à cette exportation de la honte.
Ce n'est peut-être qu'à ce moment là, que nous pourrons vivre dans un monde où il y aurait une autre logique que celle du profit ; à savoir celle du respect et de l'équité.
                                 TEMOIGNAGES

"Chiennes de Blacks"


Eté 2001. Il est un peu plus de 23 h, le RER A s'arrête à son terminus : Marne-la-Vallée. Une banlieue au Sud-Est de la capitale française.

Les voyageurs, fatigués par trente, soixante voire quatre-vingt-dix minutes de trajet en sortent, s'éparpillent.
Dans le lot, un groupe de quatre femmes, dans lequel se trouve une assistante sociale venue incognito et dont nous tairons l'identité.
Elles avancent de quelques mètres, atteignent l'extérieur de la gare. Un coup de fil dans une cabine d'à côté et voilà qu'en moins de dix minutes, deux Mercedes arrivent.
Après dix minutes de route, elles stationnent devant une grande maison isolée de toute habitation. Un Blanc sexagénaire attend les filles, en compagnie de sa femme, blanche aussi mais un peu moins âgée.

AU FOND DU JARDIN
Au fond, les bords d'un cours de tennis se dévoilent. Dans le jardin bordant une large piscine quiète, neuf autres filles, toutes africaines, discutent joyeusement avec six Africains bien musclés. Tout le monde est introduit par le couple, dans une très grande salle au sous-sol, aux murs couvert d'un tissu épais de couleur bordeaux.

A droite, un bar américain, sur lequel traînent à volonté des bouteilles de champagne, de Whiskies, de scotch et autre Clan Campbell, qui côtoient des petits fours au saumon. Le sol de la salle est couvert à moitié d'un épais matelas de la même couleur. Un caméraman, et ses deux techniciens pénètrent à leur tour dans la pièce, font leurs branchements, vérifient les éclairages, le son, et un dresseur, après un prompt claquement de mains du propriétaire des locaux, apparaît.

En compagnie de six bergers allemands. Ainsi commence le tournage d'un film de zoophilie tourné avec des Africains.
Film qui a été vendu dans les magasins spécialisés français et européens sous le titre de Chiennes de Blacks, sorti en été 2001, et depuis en rupture de stock.

Zoophilie
L'homme se gargarise la bouche avec de l'alcool, le projette dans les yeux de ses chiens : cette technique aurait pour but de rendre nerveux et agressifs les bestiaux, lors des rapports sexuels.
Pendant ce temps, les douze filles et six hommes se déshabillent et commencent les préliminaires. Le dresseur excite les chiens, et lorsque leur membre devient tendu, les filles leurs font des fellations, eux leur font des cunnilingus. Puis, l'acte sexuel avec les chiens commence.

Parfois, un malabar africain est appelé par le maître de céans, pour s'introduire dans un autre orifice sexuel de la fille, pendant que le chien se sert d'un autre.
Ces coïts avec des animaux rapporteraient à l'heure, 4 500 euros (3 millions de FCFA) aux expertes et cette même somme pour la journée, aux novices.De temps en temps, le caméraman zoome, filme les séquences importantes, demande aux acteurs de reprendre certaines scènes clés qu'il n'aurait pas bien captées.

Pour bien exploiter les quatre heures pour lesquelles les filles devront tourner, la maîtresse de maison les remaquille de temps en temps, leur change de tenue, de perruques, de lentilles de couleur et elles reviennent devant les objectifs, puis se remettent au travail.

Le but de ces changements d'aspects (de look) est de chercher à faire croire aux spectateurs, que ce sont de nouvelles actrices car, pour les 4 h de rush, au moins dix K7 seront obtenues et commercialisées, rappelle un tenant de sexe shop à Paris.
A certains moments, les membres sexuels des chiens se gonflent, et il est impossible pour eux de se retirer. C'est une scène qui serait prisée dans le milieu, surtout quand on essaie de tirer sur les deux corps pour les séparer, ce qui fait encore plus mal à l'actrice.

Pendant ces prises, le coordonnateur de tout ça, le sexagénaire, qui en fait son fonds de commerce, lance aux filles, des paroles avilissantes et obscènes : " Salope, suce lui les loques ", " Pétasse, fais-toi bien cogner par mon berger allemand ", ... Vers la fin du tournage, sa femme apporte quelques chiots qu'elle oblige à sucer les seins d'une des filles. La douleur ressentie par celle-ci à chaque succion, est pour l'autre, une source de plaisir sadique.

SORCELLERIE ET PROSTITUTION

Les Africaines prostituées en Europe font couramment l'objet d'une cérémonie de sorcellerie.
Elle est destinée à dissuader les femmes de fuir, sous peine de mort, de folie ou de maladie. Pour elles ou pour leurs proches. Le pouvoir de ces rituels n'est pour certains pas avéré. Mais les filles sont persuadées de risquer gros si elles s'en vont ou déplaisent à leur " mama ".
La prison mentale est si efficace que celles qui osent s'enfuir ne dénoncent que rarement les acteurs de la filière.

Les témoignages des prostituées et de la " mama " ont été recueillis par Amely-James Koh Bela, auteur du livre La prostitution africaine en Occident.

" On nous prend des ongles, des cheveux, du sang. [On y ajoute] des os de volaille ou d'animaux.
Les mêmes prélèvements sont réalisés sur une personne qui nous est très chère. Souvent, c'est la mère ou une sœur. [Dans mon cas], après une longue série d'incantations, la sorcière a tout réduit en poudre et m'a demandé de sauter dessus en promettant d'être fidèle, reconnaissante et obéissante ; sans quoi il arriverait un malheur à ma mère ".
Nathalie, une jeune Nigériane, raconte comment elle a été mise en condition avant qu'elle ne quitte son pays pour se prostituer, volontairement, en Europe. Une mise en condition par laquelle passent la majorité des Africaines recrutées pour satisfaire des clients européens.
Ces cérémonies rituelles, parfois fictives, sont un gage de sécurité pour les " mamas " (femmes proxénètes africaines), qui ont avancé de grosses sommes d'argent pour faire venir les filles en Occident. De cette façon, elles sont en effet pratiquement sûres que les prostituées ne partiront pas, craignant trop de lourdes représailles.

Cérémonies réelles et fictives
La cérémonie se passe le plus souvent dans le pays d'origine de la fille, après qu'elle ait été repérée et achetée par les " mamas " ou des intermédiaires, qui sont parfois des membres de sa famille.
Tout y est : les chants, incantations et collecte d'éléments corporels. Mais elles ne se ressemblent pas. " Le marabout a fait des incantations et des chants en trempant un balai dans du sang de mouton, dans lequel macéraient des herbes différentes. Il me donnait des petits coups de ce balai dégoulinant de sang sur tout le corps. Au bout d'un long moment, on m'a rincé le corps avec une eau spéciale et j'ai couru sans regarder derrière jusqu'à la maison avec pour ordre de ne pas me laver pendant cinq jours.
J'avais juste le droit de faire une petite toilette intime ", raconte Anita, une jeune Ivoirienne, à qui ont a aussi pris des poils, des cheveux, des ongles et une serviette hygiénique souillée, en plus des ongles et du sang de sa mère. Un rituel en bonne et due forme pour laquelle le marabout est rémunéré, dans certains cas " 100 euros ", selon l'Office central pour la répression de la traite des êtres humains.

Il se ferait souvent avec l'accord des femmes désireuses de quitter leur pays pour se prostituer en Europe. " Ce sont elles qui parfois demandent des cérémonies pour prouver leur bonne foi... ", estime une " mama " congolaise de Bruxelles (Belgique), réputée pour les belles filles qui servent dans son restaurant et se prostituent pour elle.
Mais d'aucuns estiment que, la plupart du temps, les filles ne savent pas ce qui se passe ou se dit lors de la cérémonie et qu'elles ne l'apprennent que lorsque tout est fini. La " mama " d'Anita, par exemple, lui a expliqué que la cérémonie visait à protéger " contre les mauvais sorts que des jaloux peuvent lancer ".

Toutes les cérémonies ne sont pas réelles. Certaines " mamas " mettent parfois en place des rituels factices. Mais parce qu'ils sont très bien mis en scène, par souci de crédibilité, les filles ne font pas la différence et sont terrifiées. Terrifiées par la mort, la folie ou encore la maladie qui leur a été promise en cas de faux pas.
Des sanctions qui peuvent tomber sur elles ou sur leurs proches. Anita raconte que sa " mama " lui a dit qu'il lui " arriverait des bricoles ainsi qu'à [sa] mère, qui avait donné son sang et ses ongles ", si elle désobéissait à ses ordres. Le risque est donc trop grand pour tenter quoi que ce soit. Ce qui les rend mentalement prisonnières. Le conditionement est par ailleurs si poussé que certaines, comme Nathalie, estiment que ces pratiques sont faites pour leur bien. " Elles (les 'mamas') ne veulent pas nous faire du mal. Elles veulent juste se protéger contre les méchantes filles incapables et jalouses qui les trahissent et réduisant à néant leurs efforts et nos chances de surcroît ", explique-t-elle.

Les filles condamnées à rester prostituées
Le rituel de sorcellerie est un contrat entre les deux parties, un engagement de fidélité et de loyauté dont l'objectif est de protéger les " mamas " d'éventuels problèmes que pourraient leur causer les filles.
" Certaines se prennent pour des chefs et montent les autres filles contre nous. D'autres essaient de tricher en volant une partie des recettes, nous trahissent en tombant dans les pièges de certaines associations qui prétendent les aider, mais leur volent des informations pour les faire expulser. D'autres vont raconter des mensonges à la police pour avoir des papiers ", souligne la " mama " de Bruxelles.
Les cérémonies servent aussi de récupérer l'argent de la dette contractée par la fille lors de son passage en Europe. " Le coût est colossal et peut osciller entre 20 000 et 30 000 dollars, qui comprend notamment le voyage, les faux papiers et les intermédiaires.
Le rituel permet aux 'mama' de s'assurer que les filles leur rembourseront les sommes investies ", Constant Roger Mbongo, avocat à la cour qui a déjà défendu quatre " mamas " et une prostituée africaines. Les cérémonies servent également de garde-fou pour les " mamas ". " Elles n'ont pas le temps de rester derrière les filles pour vérifier si elles travaillent correctement ou ne leur volent pas de l'argent. Les cérémonies servent donc à exercer une pression sur le mental des prostituées pour les soumettre ", poursuit Constant Roger Mbongo.

La méthode est efficace, car les filles restent dans la prostitution, même si elles veulent arrêter. Et elles n'osent que rarement dire à la police ou à la justice qui sont les cerveaux de la filière lorsqu'elles s'enfuient. Et si elles le font, elles risquent l'expulsion.
" Un jour, je me suis enfuie et je suis allée à la police leur raconter mon histoire. J'ai été expulsée et elle n'a jamais été inquiétée. Même pas arrêtée ", raconte Anita en parlant de sa " mama ". Autant de paramètres qui garantissent de fait une protection et une immunité quasiment incassables aux membres d'un réseau.

" Une sorcellerie de façade "
Pour Constant Roger Mbongo, les cérémonies des " mamas " ne représentent aucun danger. " Je suis Africain et j'ai la certitude qu'on ne peut pas faire du mal comme ça, par delà des milliers de kilomètres qui plus est.
On plante un décor pour faire peur à des Africaines qui bien souvent ont peu d'éducation, croient en ces rituels et qui n'ont pas connu autre chose que cela. Mais il n'y aura pas de suite. Il n'y en a jamais eu dans tous les dossiers que j'ai traités. Les 'mamas' que j'ai défendu ont toutes avoué des rituels, expliquant que cela fait partie du conditionnement. Mais elles n'ont pas dit si, à terme, elles se seraient servies de la cérémonie à des fins mauvaises.
C'est une sorcellerie de façade et de pression ", commente-t-il. Et de citer l'histoire d'une prostituée nigériane qui a dénoncé la filière et à qui il n'est rien arrivé, même si elle vit aujourd'hui cachée par crainte des représailles. Elle aurait même menacé sa " mama " de laisser sa famille tranquille si elle ne voulait pas avoir de problèmes avec la police.

Il souligne par ailleurs que " dans la prostitution des filles de l'Est, on voit tout le temps des personnes qui meurent par suite de représailles.
Mais en ce qui concerne la prostitution africaine, il n'y a pas de décès ". Pas de décès, mais des événements qui, pour certains, peuvent laisser planer le doute sur le pouvoir de ces cérémonies. Nathalie a été " mise dehors " pour avoir volé sa " mama ".
Ce qui s'est passé par la suite, bien que peut-être le fruit du hasard, lui a fait regretter son geste. " Je ne sais pas si c'était une coïncidence, mais ma mère est gravement tombée malade. Je suis allée lui (à la " mama ") demander pardon, mais elle avait trop mal au cœur et n'a pas trouvé la force de me pardonner. Depuis j'erre de squat en squat. Je suis l'unique responsable : j'ai triché et j'en paie le prix ", conclut-elle.

Publié dans Divers

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